Qu’on l’appelle habitat participatif, habitat groupé ou habitat coopératif, ces projets se nourrissent d’une énergie citoyenne :
des particuliers se regroupent pour concevoir ensemble un projet immobilier qui répond à leur besoin d’espaces, leurs attentes sociales ou sociétales et leurs capacité de financement.
L’article L. 200-1 de la loi Alur du 24 Mars 2014 a permis de faire reconnaître juridiquement l’habitat participatif :
« L’habitat participatif est une démarche citoyenne qui permet à des personnes physiques de s’associer, le cas échéant avec des personnes morales, afin de participer à la définition et à la conception de leurs logements et des espaces destinés à un usage commun, de construire ou d’acquérir un ou plusieurs immeubles destinés à leur habitation et, le cas échéant, d’assurer la gestion ultérieure des immeubles construits ou acquis.
« En partenariat avec les différents acteurs agissant en faveur de l’amélioration et de la réhabilitation du parc de logements existant public ou privé et dans le respect des politiques menées aux niveaux national et local, l’habitat participatif favorise la construction et la mise à disposition de logements, ainsi que la mise en valeur d’espaces collectifs dans une logique de partage et de solidarité entre habitants. »
Points communs des projets
être acteur de son lieu de vie